La fabuleuse histoire du 14 octobre 1958

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Photo: ina.fr

L’histoire de Madagadascar débute il y a très longtemps !
Et puis un jour, un certain Diégo, Diaz de son nom, surfeur à la recherche de nouveaux spots décida un jour de prendre ta mèr… la mer !
Malheureusement, ce jour-là Dora mourut dans d’atroces souffrances et la carte magique fut perdue à jamais. Diégo se perdit. Heureusement, un 10 août 1500 vers 15h00 (les physiciens sont formels sur cette heure, un peu moins sur le jour, ils pencheraient plutôt pour le 15 du quinzième mois), Diego et Chipper arrivèrent sur les côtes de Madascadar.
Un nouveau spot et de belles demoiselles en perspective. Ah des belles demoiselles, il y en avait.

Les deux bombasses du coin s’appelaient Rafohy (La petite) et Rangita (La frisée). Diégo heureusement avait amené avec lui des lisseurs professionnels de la marque Babyliss© et des talonnettes. De quoi pécho facilement les deux bonnasses du coin.
Après avoir pécho, il décida d’affronter un certain Andrianananananamerina. Un gars avec des tresses, venant sûrement de Jamaïque. Celui-ci, chef du fonkontany (Chef du quartier quoi t’as vu !) d’Ambohigam, mode ouaiche, avait déclaré un jour que la mère de Diégo était sa frontière. Une mauvaise blague inspirée des « Ta mère est tellement… » Ce qui avait vexé Diégo.
Ils se battirent et le chef du gang rival arriva heureusement pour y mettre fin. Un certain Gallieni. Gallieni prit une bouteille d’huile et en renversa partout ce qui fit une grosse tâche d’huile qui fit tomber nos deux coqs rivaux. Honteux de cette défaite, Diégo prit ses cliques et ses claques et ses claquettes pour retourner à son métier de planton au Portugal.
Maître de Magadadascar, Gallieni construisit des ponts et des jours fériés comme un certain … hum hum tu vois quoi… En 1947, Gal’ de son petit nom, prit le train mais malheureusement en roulant sur des rails de coke, il subit une overdose.
Dépité de cette perte subite, les habitants de Damagadascar décidèrent qu’il était temps pour eux de prendre leur planche de surf et de se lancer sans tenir la main à personne. Ils se réunirent donc au bar du coin, youkoulele dans la main, et entonnèrent un détonnant Coumbaya ! Le 14 octobre 1958 fut signé la première république bananière des surfeurs de Mascardaga.

Joyeux anniversaire #twanapero (MAJ 01/07/2013)

1 ans! Voilà #twanapero a donc un an! A l’âge d’un an on fait encore dans ses couches, on mange encore avec les doigts, on glisse encore deux trois « areuh » dans nos courtes phrases… mais #twanapero a un an!
Un an de réunion et de decouvertes, on a peut être toujours pas réussi à faire bouger les choses à Madagascar mais tant pis… On verra bien peut-être qu’un jour…
Un an de rencontres, un an de fous rires, un an de nouvelles et d’anciennes rencontres, de jour comme de nuit!
Certains y ont rencontré d’autres y ont revu, on a mis des têtes sur des pseudos… Et puis de l’autre côté, il y a les irréductibles qui ne veulent désespérément pas montrer leurs têtes tenant à préserver envers et contre tout leur anonymat.
Mais si un an que voilà on se dit que puisse-t-il continuer, continuons à arroser, continuons à y aller, un jour peut-être on saura ce qui au fond nous motive…
Rendez-vous au prochain #twanapero

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Twanapero: Mode de fonctionnement

Alors il y a toujours certaines personnes qui demandent comment ça marche! Et bien voila, on fonctionne de manière démocratique.
En premier lieu ça se passe sur le compte Twitter @twanapero . Tu follow et tu suis les events dessus.
Une fois par mois, @twanapero lance des questions pour savoir quel endroit te plaît le plus, quelle date te convient et quelle heure. Trois questions, qui une fois les réponses obtenues permettent de lancer un petit sondage en fonction des propositions retenues.
Une fois que tout a été décidé, les changements ne sont qu’exceptionnels.
Tu peux également interagir sur le hashtag #twanapero pour avoir les infos les plus fraîches sur le sujet!

Voilà maintenant tu sais comment ça fonctionne alors n’hésites pas à nous rejoindre et à interagir pour participer au prochain #twanapero.

Les 10 commandements de l’utilisateur Facebook!

L’autre jour j’ai rencontré un buisson qui s’est mis à parler. Hyper énervé je suis allé voir mon vendeur de clopes parce que franchement oser mettre du tabac dans mon juin c’est vraiment pas honnête de sa part.

Bref, voilà les trucs que ce buisson m’a raconté!sans-titre-1

Le jour où Madagascar récupéra ses îles Eparses

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Vue sur l’une des nombreuses espèces d’oiseaux des îles Eparses

AMP / Antananarivo (15 octobre 2036) – S’il y a encore 20 ans, aucun malgache n’avait jamais entendu parler des îles Eparses, ce n’est plus le cas aujourd’hui. Au terme de 3 longues années de combat acharné, le président français E. Macron a fini par céder à la pression des réseaux sociaux et fait voter par le parlement français la rétrocession des îles Eparses à Madagascar le 14 octobre 2026. Aujourd’hui, 10 ans après, que sont devenues ces îles que nous réclamions à la « mère patrie » ?

3 années de lutte acharnée

Il y a 13 ans de cela, les malgaches prenaient enfin connaissance de la force des réseaux sociaux. Des 300 000 internautes connectés, le chiffre progressa rapidement pour atteindre le million. L’occasion pour de nombreux leaders de pensées de se lancer et entamer la grande lutte qui ramènera les îles Eparses dans le giron de la Grande Île ! Facebook, Twitter, Instagram et autres pétitions en ligne fusèrent alors de toute part. Un groupe même d’Anonymous malgaches lancèrent des attaques simultanées sur le web français. Après l’énième manifestation monstre dont certaines réunissaient tout de même plus de 2 millions de personnes, la France céda finalement. Mais dans quel but ?

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Vue sur l’une des nombreuses espèces d’oiseaux des îles Eparses

300 millions de dollars de réserve de pétrole

Convoitées de part et d’autres, les îles Eparses ont fini par être reconnues comme officiellement des terres malgaches. Connues pour leur important gisement en pétrole et en gaz naturel, le gouvernement malgache n’a pas tardé à distribuer les permis d’exploration et d’exploitation aux grandes compagnies pétrolières. Total en tête bien évidemment, mais aussi l’américain Exxon ou le russe Gasprom.

Si les premières phases ont été achevées il y a 5 ans et que le stade de production a été atteint il y a 3 ans, les malgaches attendent toujours les retombées de ce pétrole béni des îles ! Il faut dire que malgré l’exploitation de Bemolanga (huiles lourdes) ou Tsimiroro, le quotidien des malgaches n’a pas beaucoup changé. Les routes sont toujours aussi abîmées et il devient de plus en plus difficile de joindre deux villes. La RN2 est ainsi dans un piteux état, asphyxiant une économie qui doit déjà être au fond du gouffre.

Rappelons qu’en 2015, les experts estimaient les réserves des îles Eparses à plus de 300 millions de dollars.

Une faune et une flore éteinte

Il y a 10 ans, les îles Eparses vierges de toutes traces humaines étaient le refuge de nombreuses espèces. Faune et flore y coexistaient en toute quiétude. Sauf qu’en 2028, le gouvernement malgache avait lancé une politique de peuplement des îles afin d’y assoir sa souveraineté. Les conséquences néfastes de cette « civilisation » des îles a ainsi eu pour effet de quadrupler le nombre d’habitants. Ne disposant pas des ressources nécessaires, la nature a finalement fini par prendre le dessous.

Un éco-lodge en projet ?

Après avoir vainement tenter d’installer des habitants sur les îles Eparses, le gouvernement malgache vient récemment de lancer un appel d’offres pour un bail emphytéotique sur l’île des Glorieuses. L’occasion pour une riche chaîne d’hôtels de sauter sur l’occasion : une île-hôtel. En attendant, il reste encore tout à faire. Reboiser pour remplacer toute la végétation anéantie par les feux de brousse des locaux qui ont déserté l’île depuis longtemps, tout construire et détruire les habitations de fortune…

Des soupçons de détournements en masse

Certaines sources soupçonnent l’Etat d’avoir fait main basse sur les ressources des îles Eparses. Il reste en effet impensable qu’un pays producteur de pétrole comme Madagascar voit le prix de son litre d’essence coûter le double de ce qu’il vaut sur le marché international. Des dizaines de « cités-Etats » ont par ailleurs vu le jour sur toute l’île. A l’image du quartier résidentiel Alhambra, où cohabitent les hauts dignitaires du régime dans le luxe et le confort. Selon certaines informations, le m² est passé dans ce quartier de 1500€ à plus de 20 000€ aujourd’hui et ce en moins de 3 ans. Une réalité qui surprend quand 99% de la population vit avec moins de 50 centimes d’euros par jours.

Aujourd’hui la question est de savoir à qui profitent réellement les îles Eparses et si finalement les malgaches n’auraient pas du revoir leur sens des priorités ?

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Vue sur l’une des nombreuses espèces d’oiseaux des îles Eparses

Toute ressemblance avec des faits ou des personnes qui pourraient ou auraient exister ne serait être que le fruit du pur hasard.

Qu’Allah le Grand nous bénisse au nom du Père

Notre Père qui êtes sur Twitter
Que ton twitname soit sanctifié
Que ma TL vanne
Que ta volonté soit tweetée
Sur la TL comme aux oeufs
Donne nous notre FAV quotidien
Pardonne nous nos DM comme nous pardonnons à ceux qui ne nous ont pas retweeté
Éloigne nous du plagiat et délivre nous des beliebers
Car c’est à toi qu’appartient les TT pour des semaines et des semaines.
RT et follow moi back!

Journal de bord du vol MH370 à #Madagascar (#RetirezMoiPhotoshop)

 

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Si toi aussi tu suis un brin les actualités internationales, tu es au courant de la disparition d’un boeing de la compagnie aérienne Malaysia Airlines. Avec ses 200 et quelques passagers, le vol aurait totalement disparu de la surface de la terre, il se serait envolé (lol)!

Selon ce site très sérieux mauricien (cliques ici) l’avion se serait dirigé vers Madagascar ou l’île Maurice. En bon investigateur, je suis donc allé enquêter sur le sujet et j’ai pu obtenir ces quelques clichés ainsi que le journal de bord du Commandant en Chef des armées à bord de l’avion.

(Toutes les notes retranscrites ici sont extraites du fameux journal du pilote en chef de tout le navion)

REVELATIONS / SCOOP / #Sligaguesque

Jour 25:

Après s’être un peu perdu (lolilol) dans les océans Pacifique-Atlantique-Indien on s’était dirigé vers Nosy-Be. Les autochtones semblaient peu enjoués de nous recevoir et voulaient absolument faire un barbecue sur la plage. On a décidé de fuir quand on les a vu arriver avec des pneus criant « Brûlé Vaza! ».

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Jour 27:

Pour éviter qu’on nous retrace, j’ai décidé d’aller à Tola.. Tôli… Tonle… Bref j’ai décidé d’aller dans la partie Sud de cette île continent. Les mines polluées intéressaient peu mes otages passagers, j’ai donc du écourté le voyage…

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Jour 28:

Continuant tout droit, enfin je crois, je me suis ensuite dirigé vers la « capitale du soleil » direction plein sud. Il faisait chaud, on a du décider de tous vivre tout nu. La pénurie d’eau s’approchant, nous avons dû plier bagage…

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Jour 29,5:

Il était midi on a pris des photos sur cet endroit où les zarbres ben ils sont tous bizarres. On a bien rigolé, Jean-Christophe, mon copilote, a voulu aller graver son nom sur un de ces zarbres mais heureusement j’ai dit non!

All%C3%A9e_des_Baobabs_near_Morondava,_Madagascar[1]

Jour 30:

On avait pris plein nord. On a fait coucou à monsieur Jean-Mairie qui avait écrit son nom en gros sur la devanture de son chez lui et on a tracé. Sa maison avait l’air bien abîmée.

Ambilobe-Mairie

Jour 32:

Après quelques jours passés dans le Nord, on a décidé d’aller voir à quoi pouvait bien ressembler une capitale de pauvres. On a vu la gare, c’était joli, un des passagers a même réussi à lire l’heure sur l’horloge de la gare, mais apparemment l’horloge était cassée parce qu’elle avait au moins trois siècles de retard! Ah ces pauvres hein!

Antananarivo_train_station_17

Après on a continué le tour de la ville, on a vu qu’il y avait pleins d’embouteillages. Heureusement qu’on a pris l’avion m’a dit Juliette, l’hôtesse de l’air que j’étais en train de sauter dans les toilettes de l’avion.

Lac Anosy revu

On est ensuite allé faire coucou au Président élu presque démocratiquement mais malheureusement il ne devait pas être là, puisque tout semblait fermé avec écrit partout « Zone Rouge ». Il faudrait peut-être leur dire que là les murs ben ils sont oranges et pas rouges hein!

Presidential_office_in_Antananarivo_Madagascar

Jour 34:

On m’avait parlé d’une plage qui s’appelle Ambourouvi sur Foursquare, alors j’ai décidé d’y aller. Après avoir mangé des brochettes et bu de la bière, Jean-Christophe a eu la chiasse. On a du partir précipitamment.

Mahajanga_Corniche

Jour 35:

Les toilettes à bord étant remplies à ras-bord, Jean-Christophe et moi cherchions des lieux d’aisance (c’est plus classe si jamais je fais un livre avec ce journal) d’urgence. On avait mis plus d’un jour avant de trouver cet endroit très joli, où l’on pouvait faire la grosse commission en toute discrétion:

Tsingy_2008

(Toutes les photos utilisées ici sont issues des Creative Commons de Whiskypédia)

Après avoir traversé Madagascar, le pays pas le dessin nanimé hein, on continue toujours notre aventure à travers les pays du globe, prochaine destination: l’Antarctique pour aller voir les pingouins de Madagascar (lolilol). En attendant .. priez pour nous siouplé ou envoyez nous du crédit pour qu’on puisse vous dire où nous sommes:

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FIN

#MDG2013: Dénouement d’une longue crise de 5 ans

Après plus de cinq années d’une période trouble encline à tous les débordements, la crise vient enfin de trouver son dénouement.

Un dénouement salvateur pour certains un peu plus rien à foutre pour d’autres. En effet, cela faisait plus de 5 ans que l’ordre institutionnel avait été chamboulé de toute part par la perte d’une logique qui devait faire en sorte que l’un sans l’autre, les choses ne fonctionnaient pas.

Après une escalade en crescendo et des discussions et réunions en haut lieu avec d’éminentes personnalités gérant le conflit familial, l’apparition tant attendue avait enfin pointé le bout de son nez. Elle qui pourtant avait été évidente dès le début de cette crise à l’allure éternelle. Il aura donc fallu plus de 5 ans pour qu’elle apparaisse et que l’ordre des choses soit enfin rétabli.

Pour les personnes alentours concernées, c’est un gros « ouf » de soulagement qui a été poussé, et c’était tout à fait normal vu la situation qui pouvait à tout moment s’accélérer. Nous pouvons désormais respirer,

J’ai enfin retrouvé ma chaussette, elle était sous la table basse la coquine !

 

« Five years after… « , Chaussette’Obama.

sale-rue-chaussette_2858Crédit photos: ici